Revue de presse
Conteur a toujours été mon seul et unique métier.
J’ai commencé à tisser le Temps, en 1977, d’abord par des contes Yiddishs, comme « Quel est ton nom ? » puis Africains, comme « Le Roi ETC… » avant de lui offrir les miens, « Les Cont’emporains de Papère et Petipied ».
Mon public n’a pas d’âge, sinon le mien.
Seules les durées des spectacles et des ateliers diffèrent selon l’âge des publics ou des participants.
Si l’on vient aux spectacles pour rêver et rire, on vient aux ateliers pour apprendre à conter, à inventer et à écrire. Car on n’y oppose pas l’Oral et l’Ecrit.
On y réconcilie le public avec le grimoire de notre langue : la grammaire, avec lequel on pourra s’envoler dans le futur comme dans le passé.
Alors, bien à vous et à bientôt !
Tsvika